la maladie
La douleur s’est emparée de ton âme
Et malgré mes prières et mes pleurs
La maladie refuse de rendre les armes
Et préfère petit à petit fatiguer ton cœur
Pourquoi tant de larmes et d’injustice
De souffrances qui n’ont pas raison
Je voudrais crier, et hurler ce supplice
Qui ne mérite ni excuse ou pardon
Le ciel n’a plus de belles couleurs
Quand je sais que là bas tu pleures
Tu survis à ta peine et ton désarroi
Jusqu’à ce que la fin fixe sa loi
La vie n’est donc rien qu’un jeu
Pour que là haut le bon Dieu
S’en prenne à des personnes si belles
Alors que d’autres ne sont que cruels
Je ne sais encore rêver et croire
Que dans ce monde on puisse espérer
Que la bonté du cœur est la seule victoire
Pour vivre une vie riche et illuminée.
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